« Je rêve de vivre et servir une Maîtresse sévère qui me mettrait sous cage de chasteté. Je suis sérieux, pas jaloux et candauliste. Libre comme le vent avec ma retraite de militaire, je peux donc la servir 24/24.

Si une vraie Maîtresse, pas vénale, est intéressée par un mari soumis et larbin, qu’elle n’hésite pas à me contacter ».

Lorsqu’il a passé cette annonce, Henri était sérieux dans ses intentions et ses rêves. En recherche d’une Maîtresse gynarchiste, il ne s’attendait pas à rencontrer aussi rapidement une femme réellement dominatrice quand il s’est inscrit sur Fessestivites. Une semaine plus tard, il reçoit un message privé d’une femme lui indiquant qu’elle serait éventuellement intéressée. Sabrina lui demande de mettre des photos de lui sur son profil avec un papier sous le menton indiquant : « Pour Madame Sabrina ». Pour ces X photos, ses ordres sont simples et précis.

« Je veux une photo de toi vêtu de face, de profil, de dos. Ensuite, tu fais les mêmes photos intégralement nu ». Elle précise que s’il le physique lui convient et si ses ordres sont exécutés à la lettre, elle acceptera de le rencontrer dans une brasserie.

Henri croit rêver lorsqu’il lit son message. Il se pince même pour vérifier qu’il ne dort pas. Après avoir fait un peu de ménage pour que l’arrière plan soit parfait, il passe la soirée à se faire beau, à se raser de près et à faire des photos qu’il trouve moches. Il en fait des dizaines pour en choisir les meilleures. Dès qu’il a posté les photos demandées il la contacte par le biais de la messagerie. Les échanges virtuels ne s’éternisent pas, Madame Sabrina lui donne rendez-vous le vendredi à seize heures à La Samaritaine, une brasserie sur le Vieux Port de Marseille.

A quarante quatre ans, Henri est encore un bel homme, musclé, bien charpenté, il ne déplait pas à cette Maîtresse qui le sonde pendant la conversation. Sabrina est une belle brune âgée de 35 ans. Cheveux mi-longs, les yeux noisettes avec un visage d’ange, elle attire les regards des tables voisines. Pour son premier test, elle invite l’homme de la table d’à côté à se joindre à eux et fait comme si elle le draguait puis accepte sa carte de visite lorsqu’il doit les quitter.

• Bien petit soumis, même si je draguais tu es resté souriant, tu t’es inclus juste ce qu’il fallait dans la conversation. Tien, je te donne la carte du mec, c’est toi qui va la garder et me la donner si un jour je te le demande. Paye les consommations, je veux aller chez toi de suite !

Henri est particulièrement étonné que cela soit aussi rapide et surtout qu’elle veuille aller chez lui. Comme il habite à quatre stations de métro de la brasserie, un quart d’heure plus tard, il ouvre la porte de son appartement et s’efface pour la laisser entrer. Le but de Madame Sabrina est de voir si ce soumis vit dans une porcherie et à quoi ressemble sa maison.

• Lorsque l’on entre chez quelqu’un, la maison a une âme, elle permet de découvrir un peu qui sont ses habitants. Ce n’est pas le bazar, c’est propre et c’est très bien mais tes rideaux sont d’une mocheté sans pareille. Enfin, je m’en moque, c’est chez toi mais à ta place, je les changerai. Est-ce que tu comptes te masturber quand je serai partie ?

Cette question cloue littéralement Henri sur place.

• Ce soir peut-être Madame, enfin, si vous m’y autorisez !

• Tu parles de cage de chasteté dans ton annonce, en as-tu une ?

• Oui Madame !

• Si je te prends comme soumis, je veux que tu la portes en permanence. Acceptes-tu réellement tout ce que tu indiques dans ton annonce ?

• Oui Madame, je ne mens jamais !

• Alors tu vas mettre ta cage de chasteté et me donner les clés.

Henri va dans sa chambre chercher sa cage de chasteté qu’il enfile devant Madame Sabrina en tremblant comme une souche. Elle récupère aussitôt les clés qu’elle glisse dans son sac.

• Es-tu libre demain ?

• Oui Madame, je ne travaille pas !

• Tu viendras chez moi à neuf heures avec des croissants. J’ai des choses à te faire faire, je te donnerai l’adresse par la messagerie de Fessestivites. Sois sage petit soumis, je te veux en forme demain. Conclue la Maîtresse de ses rêves en faisant volte face pour quitter son appartement.

........................................

Pour son premier jour chez Madame Sabrina, Henri doit rester vêtu et faire les vitres et du ménage pendant qu’elle se prélasse dans son canapé en surfant sur le net. Lorsqu’il a terminé les missions qui lui ont été confiées, elle lui ordonne de se mettre nu et à quatre pattes. Elle revient une minute plus tard avec une cravache puis fait l’inspection. Comme Henri s’est totalement investi dans ses missions avec la rigueur d’un militaire, elle ne trouve que peux de choses à lui reprocher. Les cinq petits détails sont sanctionnés par cinq réels coups de cravache sur ses fesses. Henri serre les dents, s’excuse de ses erreurs et remercie celle qui pour lui est déjà sa Maîtresse.

- La punition étant donnée, passons aux récompenses que j’ai envie de t’accorder. Viens lécher et masser mes pieds.

Henri savoure l’instant et les charmants petits petons qu’il lèche avec conviction quand soudain, elle l’interrompt pour se rendre aux toilettes. Il reste sur place et l’attend. Il se fait aussitôt gronder. Elle lui explique qu’il doit la suivre comme un petit chien et être en permanence à sa disposition sauf indication contraire. Et là, devant lui, elle ouvre son peignoir sous lequel elle est nue puis s’assoit sur les toilettes pour faire un gros pipi sans aucune gêne. Une fois ses mixtions terminées, elle s’avance sur la lunette des toilettes, écarte les jambes et lui indique qu’il doit lécher pour essuyer la goutte.

• Lèche bien, passe ta langue entre mes fesses, l’urine a du couler un peu par là aussi !

Aussi surpris par la rapidité des évènements que par le côté impudique de Madame Sabrina, Henri s’investit avec passion dans cette tâche si agréable à sa langue.

• Allez le chien, vient donner du plaisir à ta Maîtresse, j’ai des envies.

Toujours aussi impudique, elle va au salon, s’allonge sur le canapé et écarte les jambes.

• Ta langue était douce, j’en veux encore là ! Lui indique Sabrina en désignant d’un doigt son chaton épilé à la perfection.

C’est avec passion qu’Henri lèche les délicieuses lèvres intimes, titille le bouton émergeant doucement de son écrin, puis s’aventure à visiter de sa langue la grotte s’offrant totalement à lui. Un bon quart d’heure plus tard, les jambes de Sabrina serrent sa tête et la bloquent. Elle lui crie d’aller plus vite et plus fort avant de s’envoler dans une liturgie faite de mots crus à son encontre et de gémissements plaintifs.

• Putain de toi, tu lèches super bien, tu as du être lesbienne dans une autre vie. Je te garde et vais te poser mon collier provisoire dès maintenant. Sache qu’il n’est que provisoire, si tu es digne de moi, je t’en offrirai un beau. Si tu te loupes, je te virerai sans aucun remords. Suis-je claire ?

• Merci Madame, je saurai être digne d’être votre soumis, je ferai l’impossible pour vous être agréable. Je n’ai pas beaucoup d’expérience mais une grande volonté. Répond Henri avec les larmes aux yeux.

• On verra ça ! Ce soir vers 21 heures, tu iras sur le chat de Fessestivites, celui-là je sais le faire marcher. Quand j’aurai ouvert un salon privé, le code sera 3515henri. Tu resteras sur le chat tant que je ne t’aurai pas donné l’autorisation de partir et même s’il n’y a personne.

• Bien Madame, dois-je me mettre en cam ?

• Non, je veux juste que tu regardes et attendes mes ordres.

• Bien Madame.

• Casses-toi j’ai envie d’être seule.

• Bien Madame ! Répond Henri en se levant pour quitter les lieux sans tarder après s’être rhabillé.

..................................

Il est 21h30 quand Henri voit sa Maîtresse se connecter. Il se rend sur le tchat, saisie le code et entre dans le salon. Un message tombe aussitôt : « regarde ma cam et silence ». Il aperçoit sur la cam une chambre qui ressemble à celle des hôtels puis un grand lit. Il ne se passe rien, il attend donc patiemment. Soudain, il aperçoit sa Maîtresse vêtue d’une magnifique robe de soirée. Elle n’est pas seule, un homme l’accompagne, caresse ses fesses qu’il prend la liberté de claquer. Il s’attend à ce qu’elle le gifle mais elle ne fait rien. Au contraire, elle se retourne et l’enlace pour l’embrasser. L’homme aux mains baladeuses ne tarde pas à la dévêtir et la coucher sur le lit. Quand il les voit faire l’amour, dans sa cage prête à exploser son sexe palpite. Il est comme fou de désir. L’homme s’en donne à coeur joie quand il la prend en levrette. Elle se donne entièrement au sexe de l’homme la prenant comme une brute. Ils baisent à bâton rompu pendant plus d’une heure sous ses yeux. Une fois les folies charnelles terminées, Madame Sabrina se lève et, totalement nue vient à son ordinateur pour écrire un message.

« Vient immédiatement à la maison. Si tu arrives avant moi, tu attends devant ma porte »

« Bien Madame » écrit Henri avant de s’habiller le plus rapidement possible.

............

Henri arrive avant sa Maîtresse. Il l’attend patiemment devant la porte. Quand elle arrive, il sent une colère dont il ne connaît la cause. A peine sont-il entrés qu’elle lui ordonne de mettre ses mains derrière son dos et de tendre sa joue.

• Je t’ai répondu quoi quand tu m’as demandée si tu devais mettre ta cam ? Je t’ai indiqué que je voulais juste que tu regardes et attendes mes ordres, pas que tu écrives. Heureusement que j’avais coupé le son, sinon ton « oui Madame » aurait attiré l’attention !

La gifle par si vite qu’Henri n’a même pas le temps de fermer ses yeux. Pendant qu’elle retire sa culotte, il s’excuse platement en se mettant à genoux.

• Ouvre la bouche !

Madame Sabrina enfonce aussitôt sa culotte dans la bouche d’Henri en lui indiquant qu’elle ne s’est pas essuyée après avoir fait l’amour.

• Profite de ma mouille et de son sperme, ce mec me baise sans préservatif, c’est mon amant attitré. Elle est bonne hein ma culotte ? Garde-la dans ta bouche et accompagne-moi !

Sabrina se rend à la salle de bain suivie par son chien soumis à quatre pattes. Toujours sans pudeur, elle retire sa robe et entre dans la douche.

• Mes-toi à poil et viens me servir de siège !

Henri s’exécute aussitôt et entre dans la douche pendant qu’elle règle la température de l’eau. Elle s’assoie sur sa chaise humaine sans plus de précaution pour prendre sa douche. Elle se lève et lui ordonne de la lécher là où son amant la baisée dès fois qu’il en reste un peu. Par le « il en reste un peu », Henri est gêné mais s’exécute sans broncher. La douche terminée, elle lui tend une serviette et lui demande de la sécher.

Il s’exécute encore une fois avec l’application d’un soumis engagé volontaire dans sa soumission à une Maîtresse qui semble très motivée pour lui en faire baver.

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